Vous êtes du genre à vouloir TOUT contrôler, que ce soit dans votre vie perso ou pro ?
Vous avez du mal quand les choses ne se passent pas comme prévu. Vous vous sentez déstabilisée, stressée face à l’inattendu…
Pourquoi vous imposez-vous tant, au risque de :
♦ vous épuiser,
♦ créer des tensions avec votre entourage,
♦ ne plus laisser de place à l’imprévu ?
N’y aurait-il pas une peur qui se cache derrière, peur de ne pas y arriver, peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas être appréciée, reconnue, légitime… ?
Contrôle, perfectionnisme sont des mots que je connais bien pour les avoir pratiqués pendant de nombreuses années. Aujourd’hui encore, ils continuent de me titiller. Je n’arriverai pas complètement à les faire taire. Mais aujourd’hui, je sais comment les apprivoiser et composer avec. Aucune baguette magique que j’aurais miraculeusement trouvée ! Mais plutôt un cheminement, pas à pas, où la méditation occupe une place privilégiée.
Si vous aussi vous retrouvez dans ce descriptif, voici 3 questions auxquelles j’ai répondu sur le blog de Moutassem « Pratiquer la méditation » :
♦ J‘y parle de contrôle/perfectionnisme
♦ Et aussi de mon rituel du matin si précieux pour bien démarrer ma journée ✨
Car vous l’avez sans doute remarqué, il suffit d’un mauvais réveil pour être d’humeur grognonne, s’impatienter ou s’énerver pour un rien. Difficile alors de trouver de l’élan …
J’en ai fait le sujet de ma nouvelle vidéo, parue ce mois-ci sur l’Huffington Post : « Mon rituel du matin en 4 étapes pour bien démarrer ma journée »
♦ Sans oublier la gratitude, formidable booster de bien-être : entraîner notre esprit à s’ouvrir à ce qui est beau dans notre vie. Car savez-vous remarqué comme naturellement notre esprit a tendance à retenir ce qui ne va pas ? Voyez par vous-même : quand vous avez une bonne et mauvaise nouvelle dans la même journée, quelle est celle qui continue d’occuper vos pensées le soir, en allant vous coucher ?
Je vous laisse les découvrir « Se libérer du besoin de tout contrôler : 3 questions à Elisabeth »
Une invitation à faire un pas de côté, réfléchir avec sincérité et indulgence à votre mode de fonctionnement :
« Ne suis-je qu’une « machine à faire … parfaitement » ? »